Il convient de rappeler que la supposée dangerosité des éoliennes, est soumise à une distance réglementaire des habitations des plus proches, pour justement éviter tout dommage. De plus, les éoliennes sont conçues pour résister à des vents de 200 km/h et sont arrêtées en cas de tempête. Pour finir, contrairement aux centrales nucléaires qui elles sont largement plus dangereuses, les éoliennes ne sont constituées d’aucun matériau toxique ; elles fonctionnent avec des niveaux de tensions ordinaires et n’émettent pas de radiations.
De plus en 2013 l’ANSES avait indiqué que « les émissions sonores des éoliennes ne sont pas suffisantes pour générer des conséquences sanitaires directes, tant au niveau de l’appareil auditif que des effets liés à l’exposition aux basses fréquences et aux infrasons ».
Les personnes les plus exposés aux infrasons sont les techniciens de maintenance, qui travaillent quotidiennement à proximité immédiate des éoliennes. A ce jour, aucun cas de problème de santé ou de maladie professionnelle n’a été répertorié dans le monde en lien avec les infrasons.
Le rapport de l’ANSES de mars 2017 (280 pages) est téléchargeable au lien suivant: https://www.anses.fr/fr/system/files/AP2013SA0115Ra.pdf